Quand mon âme vagabonde en ces anciens royaumes

La peinture et les poèmes de la dynastie Song (960-1279), riches et sophistiqués, ont donné à la Chine ses plus belles œuvres.
Le maître de l’illustration Dai Dunbang nous propose pour sa première publication hors de Chine un florilège de poèmes enluminés à la manière de ses illustres aînés du temps des Song.
La traduction inédite de Bertrand Goujard nous restitue la puissance de cette grande époque artistique.

Édition bilingue

The paintwork and poems of the Song dynasty (960 – 1279), rich and sophisticated, gave to China its most beautiful works of art. The illustration master, Dai Dunbang, offers a selection of illuminated poems in the manner of his illustrious elders from the Song dynasty.

Ex-libris & posters

  • Wu Song frappe à mort Ximen Qing au Pavillon du Lion
    Poster
    52 x 80 cm

     

    20,00 EUR
  • Dans l’estuaire vogue le navire
    Ex-libris
    30 x 30 cm

     

    8,00 EUR
  • Sur l’air de « Chanson de la fée des grottes »
    Ex-libris
    30 x 30 cm

     

    8,00 EUR
  • Sur l’air de « Comme en songe »
    Ex-libris
    30 x 30 cm

     

    8,00 EUR
  • Sur l’air de « Les Lotus loin des rives »
    Ex-libris
    30 x 30 cm

     

    8,00 EUR
  • Sur le fleuve
    Ex-libris
    30 x 30 cm

     

    8,00 EUR
  • Une Nuit au palais des grottes célestes
    Ex-libris
    30 x 30 cm

     

    8,00 EUR
  • Sur l’air de « La Mélodie des passes du Soleil »
    Ex-libris
    30 x 30 cm

     

    8,00 EUR
Presse

· Presse ·

Au raffinement des vers répond la délicatesse d’un pinceau mis au service d’un art accompli de la composition.

, Le Monde

À travers une mise en page alliant sobriété et élégance, on peut savourer la cinquantaine de poèmes et de chants répertoriés, chacun écrit en mandarin et en français d’une façon équilibrée et épurée, leur verticalité et horizontalité respectives se complétant.
La particularité de ce livre est l’ambiance particulière qui s’en dégage, teintée de nostalgie, de mélancolie et de sophistication perdue. En effet, tout invite à la rêverie et à la contemplation à travers ces pages ; déjà car la lecture des poèmes se veut lente et rythmée mais aussi car la profondeur et les détails des œuvres de Dai Dunbang nous plongent et nous capturent littéralement dans cette époque révolue et lointaine.
Aussi bien sublime par les choix et la traduction de ses textes que sublimé par la finesse de ses illustrations, Quand mon âme vagabonde en ces anciens royaumes est un beau livre qui plaira aussi bien aux amateurs de gravures traditionnelles chinoises qu’aux passionnés de langues.

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(…) Des peintures et des poèmes d’une rare beauté (…)
Qu’il est bon de prendre une telle claque
graphique de temps en temps !

, Les arts déssinés - Beaux Arts - Actualités p.137

Une émerveillante anthologie en présente une quarantaine, en édition bilingue. La plupart étaient des « poèmes à chanter », souvent sur un air connu. Ils sont flâneurs, rêveurs, beaux comme des consolations.

Les illustrations de Dai Dunbang, une par poème, conjuguent un réalisme sophistiqué, effervescent, tout empli de détails exigeant un regard lent, et des esquisses savantes, songeuses, presque abstraites, de ce qui aurait pu être dessiné, mais mérite d’être imaginé. Autant de moments éphémères cristallisés – luxe splendide.

, Le Monde diplomatique

La traduction, de Bertrand Goujard, est élégante, la mise en page, en édition bilingue, l’est tout autant. (…) Chaque poème est en outre accompagné d’une illustration du peintre Dai Dunbang, (…) faisant de ce recueil de poésie un véritable livre d’art (…)
L’ouvrage est une réussite tant du point de vue littéraire qu’esthétique. Il a la beauté de ces livres illustrés qui se sont développés sous les Song, justement (…)

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